L’addictologue est formel. Je ne m’en sortirai qu’en lisant de la poésie. “Il n’y a que deux choses qui valent la peine de se réveiller le matin, mon bon monsieur : la poésie et l’amour”. Je souris car depuis bientôt une heure que je suis assis en face de lui, je commence à baisser les armes et à m’avouer qu’il me fait du bien, ce con.
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