Journal de bord janvier/février 25

02 janvier : retour du Pays Basque en train, après notre traditionnel réveillon tranquille de fin d’année avec Maritxu et Jean, les (grands) enfants le fêtant seuls pour la première fois de leur vie, cette année. Phrase de Jean qui me touche : “J’apprécie énormément notre petit rituel de fin d’année tous les 4…”. Et moi donc.

7 8 9 janvier : marathon à la Défense pour un gros client, énormes formations de 3h en vision devant 500 à 700 personnes connectées. Très belle vue sur Paris mais Dieu que je n’aimerais pas travailler dans une tour toute l’année.

14 - 15 janvier : déplacement à Marseille pour un client, intervention au MUCEM, promenade dans la ville avant, belle luminosité mais ce n’est vraiment pas ma came, je suis Team Sud-Ouest, pas Team Sud-Est. Au grand désespoir de mon amoureux.

16 janvier : matinée à mettre à jour des dossiers et des process Qualiopi, le niveau zéro du plaisir administratif.

17 janvier : entretien pour recruter un alternant et cette phrase mantra de Marc Drillech que je me répète depuis 2008 : “Dans ma vie, j’ai recruté 500 personnes et je me suis planté une fois sur deux…”

20 janvier : client bancaire, formation en plein Paris, petit soleil timide, joie de sauter sur un vélo pour y aller et en revenir.

22 janvier : aller-retour à Toulouse pour un client dans la journée, avion, pas bien, pas d’’autre choix. Plaisir de prendre la ligne 14 pour aller à Orly, j’adore, ce Grand Paris arrive un peu tard dans ma vie mais il est révolutionnaire. Le Paris-Toulouse en train, par contre, c’est plus compliqué.

27 janvier : soirée boulot dans les salons privatisés de l’Aéro-Club de France où Tom Cruise se verra remettre une médaille quelques semaines plus tard. Classe. Le lieu, les clients. Je me répète plusieurs fois dans la soirée : j’aime mon job et j’ai beaucoup, beaucoup de chance.

28 janvier : gastro foudroyante pendant la nuit, ça sort en haut, en bas, je suis obligé d’aller chez un client au petit matin, je prends trois sacs poubelles et je vomis plusieurs fois dans le RER puis le tram. Ça se calme un peu à mon arrivée… et puis non, malade de nouveau avant de monter sur scène et juste après. Les toilettes de l’étage sont fermés à clef, je supplie un homme d’entretien de les ouvrir pour éviter le drame.

30 janvier : pas mal de stress car nouvelle formation, chez un nouveau client, qui assiste à mes 4h de keynote devant 200 ingénieurs. Je mets du temps à rentrer dedans mais je finis plutôt à l’aise. Déjeuner ensuite avec la cliente au restaurant d’entreprise (délicieux) et retour en RER B depuis Massy, ville toute nouvelle autour du RER avec un cinéma Pathé gigantesque.

4 février : test cardio de l’effort : RAS.

5 février : forum Data & IA organisé par le boulot, super intéressant. Des rencontres, des échanges, des promesses. Rien ne vaut le networking sur le terrain pour créer du lien. Le virtuel c’est bien mais…

12 février : déplacement AR au Luxembourg, dans le train de nouveau un type à côté de moi épluche des slides “Secret” sans avoir protégé son écran, un parmi tant d’autres, j’hallucine et bien évidemment je lis tout en faisant semblant de dormir. Rien de bien intéressant.

14 février : Saint Valentin, 7 ans ensemble, on s’aime.

21 février : Scanner abdo, pas de cancer au foie ni au pancréas. On continue à chercher. On finira bien par trouver avant que je n’y passe !

Film marquant : The Brutalist

Série marquante : Severance.

Amitiés.

William